On me pose souvent la question des livres qui m’ont influencé, qui m’ont aidé.
Dans cet article, je vais essayer de vous résumer la liste des livres qui ont eu un impact sur ma photographie.
Je vous mets les liens Amazon pour la facilité et la petite rétribution si vous les commandez , mais n’hésitez pas à privilégier les petits libraires et à me payer une bière pour la commission ! Haha
Le premier : Tom Ang – How to photograph absolutely everything.
Ce livre est assez dingue pour une personne qui débute. Enormément de sujets traités et de conseils pratiques dans chaque situation. https://amzn.to/2TWuXrO
La passion : Michael Freeman
Enormément de sujets différents traités en profondeur par Michael Freeman. Je conseillerais par exemple « Capturer l’instant ». https://amzn.to/2XMgJuF
Photographier et penser : Henry Carroll
J’ai commencé par « Le livre qu’il vous faut pour réussir vos portraits », une double page par photographe, comprendre de nombreuses approches de l’exercice du portrait, différents styles, etc. Un petit livre mais passionnant! https://amzn.to/3dlydEB
Ensuite, j’ai craqué sur « Des photographes sur la photographie », de nouveau un panorama d’approches de la photographie, mais plus général. https://amzn.to/2Aor4Fd
Le photojournalisme : Pete Souza
Alors Pete, c’est une grande histoire, je le suivais sur Instagram depuis des années quand il a sorti ce livre. Il a été photographe officiel de la Maison Blanche pour Obama. Une machine à photographier l’instant, qui saisi un nombre incalculable d’image impactantes ! https://amzn.to/36LER4L
Se plonger dans l’oeuvre d’un photographe : Saul Leiter
Par hasard chez Filigranes, je vois ce livre pendant la période de Noël et suis interpellé par ces images de street photography, j’achète le livre. Après avoir consulté tout l’ouvrage, j’apprends que ce Monsieur est photographe de mode, et connu pour sa série d’image « In my room » dans laquelle il réalise des portraits intimiste dans sa chambre.
Bref des images fortes, construites, intéressantes à décoder pour continuer à s’inspirer 🙂 https://amzn.to/3gF9uNG
Bref, j’espère que tout ceci vous aidera à faire de jolis cadeaux à vos amis photographes ou à vous-même, photographes à vous offrir votre prochain cadeau :))))
Envidemment, fonction première de la plateforme, poster ses images accompagnées de #hashtags pour faire connaître son travail.
Concernant cette fonctionnalité, j’attirerais l’attention sur le fait de segmenter le contenu de vos comptes. Par exemple, en ce qui me concerne, le travail lingerie va sur un autre compte et les photos de mon chat sur un troisième. Cela permet à vos visiteurs de voir en un regard de quoi le compte traite et de s’abonner ou non.
Trouver des clients
J’ai déjà réalisé le mariage de plusieurs de mes followers et ce qui est excellent avec cette clientèle, c’est qu’il connaissent fort bien mon travail et son donc particulièrement en confiance lors du mariage !
Garder du lien avec cette commaunauté
Au travers de l’utilisation des stories, on peut partager une partie de son travail quotidien, intéragir avec sa communauté, c’est assez sympa et on se prend vite au jeu !
Trouver des modèles
Si le portrait fait partie de ce que vous pratiquez, Instagram est aussi un très bon moyen d’entrer en contact avec des modèles, tout en leur permettant un accès direct à vos images. Cela leur permet aussi de voir qui vous êtes, de contacter des gens qui ont travaillé avec vous par le passé et donc d’être à fond en confiance lors de votre prochaine collaboration !
Depuis plus de deux ans, je travaille à Bruxelles et prends le train 4* semaine. Ces trajets m’ennuient et une manière de les rendre utile est, pour moi, d’embarquer mon Fuji xt10 et de prendre quelques images, que je publie souvent en story sur Instagram, parfois en post.
Le tout sans retouche donc, histoire de se forcer à travailler correctement à la prise de vue 🙂
Ces lumières, surtout en cette saison, me passionnent ! J’adore prendre quelques minutes pour les observer, puis pour les figer sur l’appareil !
Celle-ci a été prise un matin en gare de Mons.
la précédente et la suivante sur le pont au dessus du ring à Mons
Et cette au travers d’une vitre dans le train , du côté de Soignies, si j’ai bonne mémoire, un matin d’octobre !
Cet été, je suis parti en Bretagne. J’avais uniquement un boîtier et un 35mm, pas envie de voyager chargé en vacances et envie de renforcer mon coup d’œil avec cette focale que j’affectionne déjà beaucoup.
Quelques clichés souvenirs de cette semaine :
Coucher de soleil sur la plage, mes photos sont plates, et je cherche un avant plan . Je trouves ces petites fleurs et hop cette petite fille vient décorer l’arrière plan !
Les toitures caractéristiques de la région.
le ciel était toujours bien rempli de jolis nuages, ici au port de Perros-Guirrec.
La photographie occupe mes weekends, des soirs en semaine, et mon esprit très souvent depuis le début de ma vie professionnelle.
Je viens de vivre une saison de mariage intense, pleine d’images & d’émotions, avec des couples adorables mais la fatigue est là, de plus en plus forte chaque année malgré que j’ai déjà choisi de réduire le nombre de reportages de mariages que je réalise annuellement.
J’ai pu m’éclater sur chaque mariage , saisir un maximum d’instants magiques , jusqu’au dernier mariage du 07 octobre lors duquel la lumière était magnifique et les deux amoureux juste parfaits !
Depuis mes débuts , j’ai pu rencontrer un tas de photographes de mariages géniaux , les mêmes que ceux que j’observais avant et des nouveaux , qui maintenant sont des gens avec qui je peux rire autour d’une bonne bière.
J’ai aussi pu voir plusieurs amis ou connaissances lancer leur business dans la photographie, et les voir progresser , s’amuser. Je pense à Santina, Chloé, David , Jean-Michel , Thomas , sans doute d’autres, et tout récemment Jeremy !
J’ai, par ailleurs et sans prétention, une vie professionnelle bien remplie et cette année , je ressens le besoin de m’offrir une pause. J’ai aussi consacré beaucoup de week-ends à cette activité , en m’oubliant un peu dans toute cette histoire. J’ai envie de pouvoir vivre plusieurs week-end d’été de suite sans devoir me soucier de retouches photo ou de clients à livrer; sans devoir décliner des moments en famille parce que je n’ai pas un week-end de libre sous 4 semaines , sans être pressé d’aller dormir le vendredi parce que le samedi sera une journée de 15h de travail.
En 2019, je ne ferai qu’un seul mariage, en juin, pour lequel je me suis déjà engagé et qui s’annonce déjà magnifique et plein de douceur !
Deux amis photographes, Marie et David ont accepté que je leur transmette les demandes que des clients potentiels me feront cette année. Ils vous offriront un service de qualité, dans lequel le client est au centre de leurs préoccupations, point bateau mais très important à mes yeux.
Pour ma part, je ne vais évidemment pas arrêter la photographie , qui reste une passion et une manière de m’exprimer. Je vais juste me consacrer à photographier d’autres moments , plus personnels , des proches , des instants quotidiens , des amis , des lumières.
J’adore sortir avec mon appareil et tirer le portrait d’un ami autour d’une bière ; saisir une lumière matinale incroyable ou juste promener mon appareil une journée, en ayant l’option de ne pas être inspiré par quoi que ce soit.
Je pense aussi insuffler un nouveau dynamisme dans le groupe « sorties photo mons » pour renforcer les éléments de partage entre passionnés et professionnels de l’image.
Je reprendrai la réflexion sur mon positionnement dans le monde de la photographie l’an prochain , à la même période , afin de vivre 12 mois de repos.
Vous pourrez suivre mes aventures de près sur Instagram, et d’un peu moins près sur ma page Facebook.
Merci pour tous vos feed-backs cette année , vos likes, vos commentaires , les moments partagés.
Au plaisir de revivre de formidables aventures photographiques avec les passionnés d’entre vous ,
Je connais Jérémy depuis 2013 pour avoir travaillé avec lui au sein de la même équipe dans la société EASI, basée à Nivelles. Lorsqu’il m’a annoncé son mariage, j’ai été impatient de pouvoir réaliser les photos de celui-ci. Travaillant dans le graphisme et photographe à ses heures perdues, j’étais persuadé que j’allais pouvoir m’exprimer entièrement lors de ce mariage.
Je prendrais sans doute le temps un jour de vous parler en détails du matériel qui m’accompagne lors d’un mariage mais à ce stade :
Je vous présente ici une courte sélection des images remises à mes amis, je me tiens à votre disposition pour vous partager davantage d’images, à la demande.
Tout à commencé de bonne heure dans le Brabant Wallon avec une robe suspendue devant une fenêtre
Mes fabuleux clients nous avaient préparé un lunch à emporter dans la voiture ! Charmante attention !
Ensuite, séance maquillage avec une maquilleuse pro, qui avait amené son miroir avec lampe, sujet éclairé au top !
J’adore observer les mains lors des journées de mariage, elles sont assez révélatrices du ressenti des deux amoureux, et ce à tout moment. Utile pour une image ou l’autre, mais aussi simplement pour capter encore d’avantage l’état d’esprit dans lequel sont mes sujets.
Ensuite, on a filé chez Jérémy, pour quelques photos de ses préparatifs (je vous passe la photo de son boxer à macarons colorés, cela reste dans sa sphère intime), et vous partage une petite photo de famille toute classique, dans cette pièce pleine de lumière.
Ensuite, direction le Chateau de la Hulpe pour quelques photos du couple et des familles. Elise attend son prince dans l’allée.
Comme vous le voyez sur la prochaine photo, le temps n’était pas au beau fixe (pluie fine) mais nous avons pu réaliser ces images sereinement, entre-autre grâce aux parapluies prévus en masse !
Je vous ai déjà parlé de ce que j’aimais saisir comme moment et l’importance que j’accorde à des images authentiques et vécues, jusque pendant la séance de couple et c’est encore ce que j’ai recherché cette fois, en saisissant par exemple ce sourire :
Ou ce moment câlin quand je leur demande de regarder vers l’étang pour jouer avec les couleurs déjà automnales en ce début octobre.
Parfois, quelques images plus classiques pour la postérité.
Ensuite, direction l’église, qui ressemblait à tout sauf à une église classique telle que l’on pourrait la connaître dans ces petits villages. Les mariés ont une position centrale, face au célébrant et l’assistance prend place tout autour d’eux, dans une ambiance très lumineuse !
Dès l’arrivée dans l’église, je sens que l’émotion va être présente. et je ne me trompe pas, dès l’entrée d’Elise, je suis servi et cela continuera à dose constante jusqu’à la fin de la célébration.
« Vous pouvez embrasser la mariée… »
Comme d’habitude, je reste attentifs aux regards, juste après les baisers, qui sont parfois tendres, parfois protecteurs, mais très souvent plein de sentiments !
A la fin de la célébration, beaucoup de photographes que j’ai pu observer au travail quittent l’église en premier afin d’avoir une bonne place pour la sortie des mariés. Je dis STOP ! Vous aurez de toute facon une bonne place, si vous sortez juste avant le couple et que vous reculez dans les gens, qui s’écarteront avec bienveillance. Si vous y allez trop tôt, vous risquez :
de rater ces moments assez intenses au coeur de l’église
que quelqu’un vous passe devant à la sortie des mariés puisqu’il aura déjà oublié votre présence.
Comme annoncé, je sors juste avant les mariés, en reculant et hop hop hop c’est dans la boîte.
Ensuite, nous nous rendons à la salle pour les photos de groupes. Classiques.
Et moins classiques.
La déco de la salle est soignée, avec entre-autre des impressions type Polaroïd qui attirent mon oeil de passionné.
Les discours toujours suivis de belles embrassades.
Le gâteau pendant lequel j’utilise systématiquement la lumière des feux de Bengale pour éclairer mes sujets.
Pour suivre, quelques diaporama sur la jeunesse de nos amoureux.
Le moment également de replonger sur les mains pour un détail, avec alliance.
L’ouveture du Bal, c’est à ce moment que j’aime varier les lumières en utilisant :
En mariage qui se respecte, je suis parti peu après « Les sardines » de Patrick Sébastien !
En complément de la journée, Jean-Michel Renoirt m’a accompagné afin que je puisse lui partager encore davantage ma manière de travailler et de lui permettre de s’exercer à ce qui constituera une petite surprise pour Elise et Jérémy, à retrouver en fin d’article !
Disposer d’un second shooter m’a permis de voir apparaître quelques images bien complémentaires des miennes, que ce soit par le cadrage différent lors de moments clés ;
Le focus et angle différent
Des images très « moment volé’
un focus sur les mains avec une chair de poule d’émotion, qui complète encore davantage à merveille la série. Un autre angle sur un moment sympa :
Et enfin, une série d’image argentiques en noir et blanc que Jean-Michel a développée lui même dans son labo personnel, et dont il a fait cadeau aux mariés !
Merci à mes mariés pour leur confiance et à Jean-Michel pour la compagnie et toute l’attention prêtée à mes conseils !
J’ai été très heureux de pouvoir réaliser ce reportage et de pouvoir partager ma photographie avec un second shooter, et avec vous aujourd’hui au travers de cet article !
Cette année, nous avons la chance d’accueillir à Bruxelles l’exposition de Steve Mc Curry, « The World of Steve Mc Curry ».
Si vous ne voyez pas de qui je veux parler à cette ligne, regarder cette photo, plonger dans les yeux de cette jeune femme et vous vous direz « ha oui, cette photo ! »:
J’ai eu l’occasion d’aller la visiter avec mes amis des sorties photos Mons, une bonne dizaine de passionnés qui ont pris la route pour rejoindre la capitale, en ce beau dimanche.
On article va s’articuler en 3 parties, pour vous donner mon humble avis sur l’expo, le travail et ce que j’en retire. Les photos que j’ai prises sur place n’ont pas vocation à reproduire les oeuvres, mais bien à vous montrer comment elles sont disposées, pour vous donner envie d’aller les voir !
L’expo
Dès l’entrée, on est plongé dans une multitude de photos (il y en a 200 exposées), avec la sensation d’être un peu oppressé par toutes ces images dispersées en haut, en bas, devant soi, derrière soi. A quelques exceptions près, les images sont exposées sans ordre particulier, laissant le visiteur déambuler dans la vie de Steve Mc Curry. Je pense que la sensation recherchée par la scénographie est clairement de nous montrer la multitude d’images et la constance du travail de l’artiste au travers des époques.
J’ai particulièrement apprécié ce reportage de guerre, qui paraît s’être déroulé hier, alors qu’il date d’il y a environ 40 ans…
A l’entrée, on reçoit un audio guide pour obtenir un commentaire sur 50 images de l’expo. Là, j’ai fait l’erreur de le demander en Français, le mec lit en articulant chaque syllabe comme à un cours de diction, c’est un peu pénible. A refaire, je prends la version originale, par l’artiste lui-même.
D’un point de vue technique, ce téléphone portable des années 90 est un peu désuet et moche mais ça a le mérite de fonctionner.
J’ai déjà visité d’autres musées dans lesquels l’audioguide se déclenchait automatiquement (Bluetooth) au passage devant une oeuvre, c’était pas mal (sur l’audioguide ou sur une application mobile, soit dit en passant).
Le travail
Même si les images finales sont esthétiques, je ne reste pas fan du travail de Steve Mc Curry en lui-même. Les images sont retravaillées sur certains détails (comme les yeux qui sont systématiquement brillants et mis en valeur), ce qui diffère pas mal de ma manière de voir la photographie, d’autant plus quand les images sont publiées par des magazines, je trouve que le côté « reflet d’une réalité » prend alors, d’autant plus de sens.
Notons que ce travail est assumé par l’artiste puisqu’on peut en voir quelques détails dans une des vidéos jouxtant l’exposition des photos. Il n’est reste pas moins que le travail est abouti , constant, les images bien construites et que l’on a sans doute beaucoup à apprendre de ce Monsieur. La constance du travail au travers des lieux et des années est terriblement impressionnante.
Ce que j’en retire
L’importance de la composition, du « Less is More », l’idée de simplifier son image en minimisant les élément que l’on y place, pour en simplifier la lecture et obtenir une image plus impactante.
L’importance du moment de la journée pour photographier une scène. Plusieurs fois dans le commentaire audio, Steve Mc Curry précise qu’il est venu prendre plusieurs fois la même image, à des moments différents pour obtenir l’image désirée. Depuis le début de cette année, j’ai mon appareil avec moi chaque matin et chaque soir pour les trajets vers le boulot, j’ai déjà pu observer toute l’importance de choisir son moment, sa lumière.
La sensation que ce gars à le sentiment d’une vie accomplie, d’avoir figé ce qui l’entourait toute sa vie, ce qui le porte dans un bonheur apparent que l’on peut percevoir au travers des vidéos dans lesquelles on le voit s’exprimer.
Et bien sûr, un bon moment avec mes amis photographes :
Pas besoin d’être photographe pour apprécier cette exposition, je vous la conseille à tous, c’est un plaisir pour les yeux et vous pourrez terminer la journée dans 3 de mes lieux préférés à Bruxelles :
– Le Cirio pour boire un verre dans une ambiance bruxelloise
– Corica pour acheter du café authentique
– Dandoy pour leurs biscuits et leurs petits coeurs en massepain cuit !
Se marier en hiver, c’était le choix de Nico et Jenn, et j’ai eu l’honneur de réaliser leur reportage photo.
Je les ai retrouvés à la maison communale de Waterloo, pour mon premier mariage de 2016 ! Lumière d’hiver, je devais être le seul à espérer de la neige pour quelques heures plus tard, afin d’avoir quelques photos de couple sur fond blanc 😉
Parenthèse matériel pour les photos-geeks d’entre-vous : Fuji X-T10 Fuji X-T1 Fuji X-PRO 1 Focales fixes uniquement
Je vous présente ici quelques unes des photos du reportage, en omettant volontairement une partie de celles-ci, n’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez découvrir un reportage complet lors d’un rendez-vous.
Les premiers moments avec les témoins et la famille sont toujours des moments chargés d’émotions, surtout quand les mariés résident à l’étranger et qu’ils ont donc peu d’occasion de voir leurs proches.
Ne s’étant pas vus au domicile de la mariée, nos amoureux se se jetés dans les bras l’un de l’autre, à la vue de leurs amis ! Un très beau moment !
C’est typiquement le genre de moment pendant lequel j’aime me mêler à la foule, pour encadrer mon sujet et voir la scène comme un invité à la noce.
J’aime me concentrer sur les mains de mes sujets, elles sont souvent révélatrices du moment et du ressenti.
Ce mariage a également été pour moi l’occasion de tester des images à 360° comme celle ci, qui vous permet de vous plonger dans l’ambiance du moment :
Le baiser est un immanquable de la photo de mariage mais, ceux qui me suivent le savent, le moment « juste après » est encore plus savoureux. C’est souvent le genre de moment que l’on oublie en tant que photographe, lors de ses premiers reportages, laissant tomber la pression de l’immanquable photo que l’on vient de réaliser.
Et, c’est le moment ou je reviens sur ce que je vous disais il y a quelques lignes, les mains sont souvent révélatrices de l’émotion du moment.
Pour la suite de la journée, nous avons réalisé les photos de groupe, un photobooth super fun et toujours des images en mode reportage mais je choisis de revenir sur une image pour clôturer ce partage :
Merci à Jenn et Nico pour leur confiance et leurs commentaires suite à la réception de mes images. Je leur souhaite plein de bonheur dans leurs nouveaux projets !
Si tu es photographe, n’hésite pas à partager ton feedback en commentaire ;
Si tu projettes de te marier prochainement, n’hésite pas à me contacter ;
Si tu aimes ces images et cet article, n’oublie pas de l’indiquer sur les réseaux sociaux !
Beaucoup de gens (amis, connaissance, collègue) me demandent ce qu’ils doivent acheter comme nouvel appareil photo (parce que tu vois Seb, mon appareil il est vieux et il fait de mauvaises photos). Je vais tenter de les éclairer au travers de cet article.
A l’intérieur de moi, une petite voix répond systématiquement : « Ce n’est peut-être pas l’appareil qui fait de mauvaises photos ? « mais histoire de ne pas perdre des amis ou des clients potentiels, j’émets le même avis de manière plus nuancée.
Quand vous avez un boîtier reflex ou hybride et quelques bonnes optiques (= à mon sens au moins une focale fixe, type Canon 50mm 1.8), je pense que techniquement, vous avez le nécessaire (sauf si vous voulez faire des photos d’oiseaux à 250 mètres ou bien des portraits à la lumière de la lune mais je parle d’une utilisation classique, dans le cadre familial). Ensuite, il faut se former et pratiquer.
L’analogie est simpliste mais si je ne prends aucun cours de conduite automobile sur circuit, il m’est peu utile d’investir dans la dernière voiture de course à la mode, si ce n’est pour son apparence.
En photo, c’est la même chose. Les boîtiers disponibles même en entrée de gamme offrent des performances tout à fait acceptables, si vous les exploiter à fond !
ou un x-M1, qui sont respectivement un compact et un boitier entrée de gamme.
Dans le cadre des sorties photos que l’on organise à Mons avec quelques amis, je pense organiser un atelier lors duquel on aura à disposition un parc de vieux appareils numérique de qualité médiocre, pour réaliser des photos sur un thème déterminé (tremblez jeunes gens :-)))) )
Parmi les photographes pros, les discussions tournent malheureusement trop souvent autour de « Tu as vu le dernier boitier de XXXX, et ses 234 images/secondes ? « , « Seb, tu fais quoi avec un X-PRO1, ce boitier qui a tant d’année et un AF aussi lent ? »
Ce phénomène devient, pour les gens contaminés, le GAS – Gear Acquisition Syndrom. Le GAS c’est le fait de penser qu’en en achetant toujours plus, on va progresser.
Je suis clairement passé par cette phase, quand j’avais mon 50D grippé et un 70-200 monté autant que possible dessus, mais depuis, j’ai remis les choses en question et j’en viens même à me dire qu’au plus votre matériel est discret, banal et connu, au plus vous serez discret, au plus vous mettrez votre modèle à l’aise, ce qui correspond au style d’image que je veux créer.
Je reste un passionné qui aime travailler avec de bons outils mais utiliser l’existant à 100% fait maintenant partie de mes objectifs 🙂